Révélation de l’homosexualité de Geoffroy Didier ? “Une boutade” pour Stéphane Bern

Invité de Thierry Ardisson dans “Salut les Terriens” sur Canal+ samedi, Stéphane Bern a créé la polémique en parlant de l’homosexualité supposée du représentant UMP Geoffroy Didier. Invité de l’émission “On ne parle que de ça” du Figaro TV, l’animateur s’est expliqué.

“Non, mais Geoffroy n’assume pas sa sexualité ! Tout le monde sait qu’il est homo, mais il dit qu’il est hétéro !”. Tout le week-end, la petite phrase assassine lancée par Stéphane Bern au représentant UMP pendant l’émission “Salut les Terriens” samedi sur Canal + a alimenté la polémique. Outé publiquement par l’animateur de France 2 sur sa potentielle homosexualité, Geoffroy Didier n’a pas souhaité commenter les propos de Stéphane Bern mais la planète médiatique l’a fait pour lui. Invité de l’émission “On ne parle que de ça” du Figaro TV, l’animateur a tenu à s’expliquer sur ses propos. “Ce n’est pas de l’outing, c’est une boutade !” a-t-il confié au journaliste Julien Mielcarek avant d’expliquer : “On s’était vus deux jours avant à ce dîner où tout le monde plaisantait sur ce sujet. C’est très difficile de tenir une position dure, de la droite dure sur ce terrain-là. Je pense que quand on veut monter au cocotier, il faut avoir les fesses propres, c’est un proverbe africain sur les chimpanzés. Avant de donner des leçons de morale, il faut soi-même regarder dans son propre camp”.

Pour Stéphane Bern, rien de très grave dans cette histoire. “Ce qui m’agace mais ça c’est le buzz médiatique c’est qu’on ne parle que de ça. Parce que Thierry Ardisson fait bien les choses. Il a envoyé le buzz avant. Tout le monde en parlait avant même d’avoir vu l’émission. Puis j’ai eu plein de message pendant l’émission qui m’ont dit “tout ça pour ça”. La montagne a accouché d’une souris.” explique-t-il avant de conclure : “De temps en temps je l’ouvre. Je n’ai aucun remords. J’assume parfaitement ce que j’ai dit”. Closer.fr vous propose de découvrir l’interview de Stéphane Bern dans “On ne parle que de ça”.