La police utilisait en effet l’application pour arrêter des homosexuels, notamment en Egypte, en Russie et en Arabie Saoudite… toute une liste exhaustive dont le détail n’a pas été communiqué.
La police utilisait en effet l’application pour arrêter des homosexuels, notamment en Egypte, en Russie et en Arabie Saoudite… toute une liste exhaustive dont le détail n’a pas été communiqué.