Francois Fillon veut réécrire une loi de la République, approuvée par une large majorité de Français !

Notre ancien premier ministre n’a décidément toujours rien compris à la politique et aux attentes de ses concitoyens !

Francois-Fillon-veut-réécrire-une-loi-de-la-RépubliqueRéécrire une loi approuvée par la majorité des français ?

Chacun ses urgences… La preuve sur les réseaux, c’est le peuple qui s’exprime :

>> On n’oublie pas qu’il avait voté contre la dépénalisation de l’homosexualité en 81 et contre le PACS aussi.

>> C’est bien, on le savait un peu con mais là du coup ça se confirme !

>> Vous n’avez pas de choses plus urgentes a gérer ?

>> Bizarre, je croyais que la préoccupation des français était le chômage, rien de plus important à faire !?

>> Donc, un député UMP n’a que ca a foutre ?! Il n’y a pas de loi/texte à débattre ?! HONTE

>> Si c’est une loi inégalitaire il l’aura dans le fion …inconstitutionnelle !!!!

>> La honte ! Jouer avec les droits des minorités ! Ce n’est pas républicain ça ! @FrancoisFillon

>> Fillon : on aura compris que vous n’aimiez pas les homos ça tombe bien ils ne vous aiment pas non plus !

>> Si c’est le seul moyen qu’il a trouvé pour passer les 3% a la primaire, c’est pas gagné.

>> Passe à la maison me démarier ! on fera un grand feu de joie avec nos Livret de Famille !

>> Moi les jeunes fions je les vois pas..

Rappelons que des perquisitions, dont une au ministère de la Santé et des Affaires sociales, ont été menées ce mercredi dans le cadre de l’enquête sur les dépenses de sondages et de communication du gouvernement Fillon, a-t-on appris de source proche du dossier, confirmant une information du Point.

Les enquêteurs de la Brigade de répression de la délinquance économique (BRDE) de la police judiciaire parisienne «ont saisi des pièces comptables visant à éclaircir les circonstances dans lesquelles des marchés publics ont été attribués» et «déterminer s’il y a eu ou non infraction au code des marchés publics», a précisé cette source.

Critiquées par la Cour des comptes en 2011 et visées par une plainte de l’association Anticor, des dépenses de sondages et de communication des ministères sous le gouvernement Fillon sont l’objet depuis juillet 2014 d’une information judiciaire menée par des juges d’instruction du pôle financier. Cette instruction est ouverte pour favoritisme et détournement de fonds publics, après une enquête préliminaire déclenchée par une première plainte d’Anticor.

L’association de lutte contre la corruption se fonde sur un rapport de la Cour des comptes d’octobre 2011 qui épinglait des dysfonctionnements dans les dépenses de communication de plusieurs ministères et de Matignon. Anticor pointe des sondages, campagnes de communication, conseils stratégiques ou services de «media training» fournis à des ministères sans publicité ni mise en concurrence, d’où les soupçons de favoritisme.

Des sondages sur l’image personnelle des ministres

Concernant les «ministères sociaux», la Cour critiquait «l’attribution successive, à un même consultant, de trois marchés d’appui et de conseil en communication pour des prestations d’assistance à différentes autorités ministérielles, en l’absence de toute mesure de publicité et de mise en concurrence».

La Cour soulevait aussi la question du «financement, sur deniers publics, de sondages relatifs à l’image personnelle des ministres ou à des sujets éloignés de l’action du gouvernement», ce qui peut constituer aux yeux d’Anticor des détournements de fonds publics.

La semaine dernière, dans un dossier distinct portant sur les sondages de l’Elysée sous Nicolas Sarkozy, six anciens responsables de la présidence de la République ont été entendus en garde à vue. Parmi eux, figuraient les anciens secrétaires généraux de l’Elysée Claude Guéant et Xavier Musca, ainsi que l’ancienne directrice de cabinet Emmanuelle Mignon. Ils n’ont pas été mis en examen.